Jennie Salmon, entraîneure en chef d’escrime de l’Université Temple, partage ses idées sur le recrutement d’étudiants-athlètes
Salmon tire sa satisfaction de travailler avec des étudiants-athlètes qui n’ont pas encore réalisé leur plein potentiel.
« Je suis très attachée au potentiel ainsi qu’aux réalisations déjà établies », dit-elle. « Il y a des athlètes que je regarde que d’autres entraîneurs ne regardent peut-être pas parce que je sens qu’ils ont la passion et le potentiel au sein du programme d’ici la deuxième ou la troisième année pour pouvoir atteindre le niveau de départ.
Salmon note qu’il existe des signes avant-coureurs qui la dissuadent de recruter un prospect, quel que soit son talent ou son accomplissement.
« On les regarde certainement clôturer – la pièce d’esprit sportif », dit-elle. «S’ils se comportent de manière inappropriée, crient après les arbitres, crient après les parents ou les entraîneurs, cette pièce est définitivement un gros drapeau rouge pour les entraîneurs qui regardent les escrimeurs.
« Un autre est celui des athlètes qui ne répondent pas ou ne communiquent pas. Je pense que c’est quelque chose qui est malheureusement devenu de pire en pire. Les enfants ne comprenant peut-être pas comment un manque de réponse se répercute sur les gens qui pensent [the recruit is not interested]. Vous voulez quelqu’un qui est excité et qui vous répond et qui montre réellement un intérêt pour le programme. »
Les entraîneurs obtiennent souvent des informations sur les étudiants-athlètes grâce à leurs entraîneurs.
« Lorsqu’un entraîneur ne peut pas me donner une recommandation très élogieuse pour son escrimeur, c’est un signal d’alarme », dit Salmon. « Bien sûr, les entraîneurs vont être politiquement corrects dans leur façon de parler, mais nous nous comprenons en quelque sorte. Je suis plutôt doué pour comprendre ça. »
Salmon s’intéresse également à la façon dont une escrimeuse est considérée dans les limites de son propre club.
« La façon dont ils se comportent dans le club est importante », dit-elle. «La façon dont ils se sont établis au sein de la culture de leur club peut également être un drapeau rouge.
« L’inverse est que si je vois quelqu’un lors d’une compétition et qu’il ne pratique pas l’escrime et qu’il soutient ses coéquipiers, enthousiaste et enthousiaste, ce genre de choses est très encourageant pour moi. »